Les Féeries du Bocage vous présentent :
Olivier Roman
Je suis né à Metz (France)… il y a déjà quelques années de ça. C’est aux Beaux Arts que j’ai découvert et aimé la peinture et le dessin. Influencé par le quattrocento et le mouvement symboliste, adorant le fantastique, j’ai, à mes débuts, tenté de concilier ces genres. Par la suite, je fus happé par la folie hyperréaliste et sa débauche d’aérographe. A cette époque, alors que je faisais des illustrations en indépendant pour des agences de pub, un courant faisait éclore de bien belles peinture sur les murs de nos villes. Ce courant coloré avait un nom : le trompe l’œil aussi appelé peinture murale, fresque ou peinture décorative…et je m’empressais d’y participer. Mes premières réalisations furent pour des commerces, des restaurants. Puis il y eut des travaux plus conséquents, un trompe l’œil de 100 m2 sur bâche pour cacher un important chantier à Montpellier, une porte monumentale en trompe l’œil à Gruissan pour l’an 2000, la création et réalisation de peintures décoratives sur des stands pour les foires internationales de Lyon et Montpellier. A Point-à-Pitre, j’ai décoré un Holiday-inn, à Nimes j’ai peint sur une île flottante. Sans compter de multiples interventions sur divers festivals. Dernièrement, et c’est un peu ma cerise sur le gâteau, je terminai une fresque murale importante au château de Gaujac (Gard), classé aux monuments historiques. Parallèlement, je réalise des albums de bande-dessinée pour une série qui se nomme « Harry Dickson » ( huit tomes parus chez soleil production en collaboration avec le scénariste Nolane).
Aux Féeries du Bocage il dédicacera :
La vie de Véhir, le grogne (homme-cochon), bascule le jour où, désespéré par un amour déçu, il s’enfuit de sa communauté, échappant ainsi aux lois de l’Humpur…
Commence alors une longue aventure qui le conduira d’abord chez Jarrit, un vieil ermite grogne qui lui enseigne les premières leçons de survie ; puis, capturé par les prévôts hurles (hommes-loups), il fera la connaissance de Tia, une jeune aristocrate hurle exaltée qui refuse le mariage auquel elle est promise. Tous deux vont se lancer dans la quête des dieux humains, ces créatures légendaires qui auraient jadis régné sur Terre.
Une aventure pleine de dangers, qui les fera se découvrir l’un l’autre, briser les tabous, et redécouvrir leur humanité en jachère sous leur animalité.
L’Angleterre des années vingt réserve bien des surprises et Harry Dickson, le successeur le plus doué de Sherlock Holmes, a un certain talent pour se retrouver melé à des énigmes ou le Fantastique le dispute au Policier, des X Files avant l’heure.
Harry Dickson est le dernier rempart entre l’humanité et des périls venus de l’espace et du temps.
Alchimie est un récit mêlant surnaturel, enquête policière et énigme historique.
Tout commence en 1314, lors de l’exécution de Jacques de Molay, où le Grand Maître maudit les Rois de France sur treize générations. Cinq siècles plus tard, la lignée des Capétiens éteinte, un groupe d’hommes veille au trépas de la monarchie, avec notamment l’assassinat du duc de Berry en 1820. Ils sont issus des « Habits Noirs », société secrète dirigée par un homme côtoyant l’immortalité. A leur poursuite, François Vidocq, célèbre détective et le jeune Alexis le Rouge, journaliste. Ceux-ci partagent leurs ennemis avec monsieur de Larmia, proche du Roi, adepte de méthodes insolites. Tous oscillent entre la vie mondaine du XIXème siècle, la magie et la mort.