Oeuvres présentées

Titre : Gnose

Description : parut en 1993, sans doute prématurément et manifestement suscité par l’évolution que l’adombrement vécu l’année précédente avait occasionné. Cet ouvrage s’attachait essentiellement à restituer au Tarot la gnose qu’il contenait à l’origine et dont une bonne part s’était perdue au cours des derniers millénaires. Nous étions et sommes toujours convaincus que le Tarot existait dans l’antiquité, ayant eu l’opportunité de compulser un manuscrit vraisemblablement élaboré il y a 150 ans par Charles Etienne Brasseur de Bourbourg (1814-1874) qui faisait état d’un tarot maya. Tous les éléments à ma disposition concernant ce manuscrit figurent dans « le Tarot Philosophique » paru en 2010. La pratique du Syncrétisme des Voies n’est bien entendu possible que si l’on part du principe que la Tradition est Une. Elle nous permet de tester l’ensemble des hypothèses émises car pour que celles-ci soient reconnues valables, elles doivent présenter dans leurs superpositions un calque parfait, dépourvu de manques ou de débordements.

Source : le site de Jean Haab

Titre : Le tarot magique

Description : Paru en ce début 2010, le tarot philosophique fait l’objet d’une longue gestation.
En effet, d’une part nous recevions ou découvrions sans cesse de nouvelles clés, ce qui nous amenait à reprendre constamment des chapitres toujours inachevés, d’autre part plusieurs mois furent nécessaires pour l’élaboration graphique des arcanes. A la lumière du Syncrétisme des Voies, le Tarot primitif devait progressivement nous apparaître comme un fantastique résumé traditionnel restituant strictement, et dans un ordre impeccable, un processus initiatique. Cyclique, tout comme l’Arbre des Séphiroth dans lequel il s’intégrait, il amenait les 11 premiers arcanes majeurs et Lettres Nombres à débouler depuis Kéther pour réaliser la Création Involutive, puis les 11 derniers à remonter l’Arbre sous l’égide de l’Alchimie qui s’y trouve entièrement et ordonnément contenue. De plus, et à l’inverse de ce qui avait été réalisé jusqu’à présent, notamment par les Ecoles anglo-saxonnes, ce ne sont pas les Sentiers Interséphirotiques qui nous ont servis de Contenants, mais les Séphiroth elles-mêmes qui sont l’âme de l’Arbre. En effet, tout comme le Tarot, l’Arbre entier est vivant et doit sans arrêt être « alimenté » spirituellement depuis les plans supérieurs.

Source : le site de Jean Haab